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Paris

Paris, son prestige, ses monuments, ses pâtisseries...

Paris

Paris et ses pâtisseries

Le charme de Paris ? Ses monuments et ses musées : de la Tour Eiffel à Notre-Dame en passant par le Louvre ou Beaubourg. Paris, c'est aussi une atmosphère avec ses lumières, ses terrasses de café, ses bords de Seine, ses ponts. Et ses quartiers typiques : Saint-Germain des Prés, le Marais, Belleville... L'architecture est superbe avec les immeubles anciens conservés et restaurés. Capitale du shopping, parfumeurs et créateurs de mode y exposent leurs merveilles. On peut y préférer les marchés, les galeries d'art ou les bistros populaires. À Paris, ville multi-facettes, chaque visiteur peut y puiser un moment de bonheur et fréquenter ses innombrables brasseries, restaurants, salons de thé. Ici, l'histoire gastronomique est riche en pâtisseries. Les vedettes, la brioche parisienne mentionnée dès le XVIIe siècle et le croissant déjà connu au XVIe siècle. Les petits choux ou chouquettes  régalent les Parisiens depuis le XVe siècle (vendus dans la rue à l'époque). Les tartelettes amandines se dégustent depuis le XVIIe siècle ; Edmond Rostand dans Cyrano de Bergerac évoque la façon de les fabriquer. Créé par la maison Stohrer, vers 1700, le puits d'amour connut une grande vogue en 1843 suite au succès de l'opéra comique du même nom. La tradition du Saint-Honoré, à l'origine pâte à brioche garnie de crème chantilly,  remonte à 1846 grâce au pâtissier Chiboust installé dans la rue éponyme. Au XIXe siècle, Paris découvre d'autres gâteaux devenus célèbres  depuis: le macaron “Gerbet”, le savarin imaginé par Auguste Jullien, nommé à l'origine “Brillat-savarin”, et la tarte bourdaloue inventée vers 1850 par un pâtissier installé dans la rue du même nom. Dernière gâterie en date : l'opéra. Deux pâtissiers se disputent sa paternité, Paul Bugat qui affirmait l'avoir créé dans les années Folles et Gavillon en 1954. Première ville française à faire connaître le chocolat, en 1671, rue de l'Arbre Sec, Paris a vu naître aussi la baguette, en 1920. Paris fabrique également du vin grâce à neuf vignes qui produisent 2 000 bouteilles par an. Les rues en sont témoins : rue des Vignes, rue du Pressoir...  

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